"À découvrir absolument"

 

Ouest-France

"un cocktail à écouter sans modération"

 

Le Télégramme

"Surprenant, dérangeant, inclassable, en tous cas un album très, très original de harpe celtique qui revisite la musique traditionnelle les doigts dans la prise. Musique qui laisse à chacun le paysage et l’atmosphère de son propre voyage (…) chacun est libre d’y installer ce qu’il veut y faire figurer. Le voyage musical en vaut la peine!"

 

Gaëlle Le Gallic

France Musique

"Dès les toutes premières électriques notes, les premières ambiances sonores de la première plage, « Plinn Bye Bye », nous comprenons, instantanément, que cet album ne sera pas un opus « classique » où l’instrument emblématique des musiques celtiques sera joué, comme au sein de nombreux disques que nous recevons, certes avec talent, voire vélocité, mais sans âme de contemporanéité.

Ici, c’est tout le contraire et « Culture et celtie, le MAGazine… » aime, particulièrement, cette option de modernité qui, en concevant un nouvel univers sonore, décuple les capacités de création et d’expression de cet instrument traditionnel qui n’en demeure pas moins, très actuel, même prospectif !

Autant vous l’avouer, dès maintenant, cet excellent disque, cette remarquable création, nous a enthousiasmé et son absence, au cœur de votre discothèque celtique, néo-celtique, serait un manque certain. (...)

Cet album, « Finis Terrae », est intelligent, attachant, surprenant, innovant mais, toujours respectueux.

Tradition de la harpe celtique, sonorités rock, rythmes jazzy, effets sonores, se conjuguent, sans se vautrer, comme beaucoup, dans certaines recettes de mode actuelle qui font croire, abusivement, à un renouveau.

Indiscutablement, nous sommes en présence d’un disque de virtuoses que, vous qui aimez « les racines et les ailes » de la musique celtique, vous devez, impérativement, vous procurer pour mieux écouter et ré-écouter, avec, toujours, de nouvelles surprises, ces deux musiciens qui n’ont pas fini de faire parler d’eux, tant leur talent est grand et garant d’une authentique évolution musicale, parfaitement, maîtrisée.

Nous espérons qu’un label de qualité signera leurs prochains enregistrements, permettant, en dépassant le stade, ô combien courageux et louable, de l’auto-production, une mise en place dans les rayons et sur les ondes, de ce fait, plus accessible.

Organisateurs de festivals, de soirées, n’oubliez pas d’inviter ces deux artistes d’exception…

Merci à Alice et Nikolaz de nous avoir contacté et adressé leur album en nous permettant de présenter ce 1er opus qui n’est… qu’une première pleine réussite !"

 

Gérard Simon, Culture et Celtie le MAGazine.

http://culture.celtie.free.fr/cddescofarfinisterrae.htm

 

 

 

"We enjoyed a concert by the electric lever harp Duo Descofar, Nikolaz Cadoret and Alice Soria-Cadoret. They are a shining example of the contemporary directions Celtic music is carving out for itself, with a host of sound processing effects, jazz and even rock influences. Their music is strong, witty and virtuosic - it was these three qualities that struck me again and again throughout the evening."

 

"Nous avons savouré le concert du duo de harpes celtiques électriques Duo Descofar, formé par Nikolaz Cadoret et Alice Soria-Cadoret. Ils sont un brillant exemple des chemins contemporains que la musique celtique est en train de prendre, avec de nombreux effets sonores, des influences jazz voire rock. Leur musique est forte, intelligente et virtuose."

 

Harpblog.info 

 

 

"Alice Soria-Cadoret et Nikolaz Cadoret sont peut-être harpistes de formation classique, mais on ressent surtout ici de la musique celtique alliée à une grande volonté d’innovation. C’est assez surprenant. On est parfois plongé en pleine tradition de la harpe celtique, quand, soudain, voilà un assaut de rock, parfois hard, avec des instruments électriques qui font penser à des guitares et des basses, mais qui sont bien des harpes, bourrées de pédales d’effets. Le gentil folk attaqué par le méchant rock. Les Dr Jekyll et Mr Hyde de la musique bretonne. Finis Terrae, au-delà de la terre bretonne il n’y a pas rien mais il y a le reste du monde, et il faut vivre avec. C’est ce qu’on aime bien dans la culture bretonne, quand elle est ouverte sur le monde, plutôt que repliée sur son identité exclusive."

 

http://www.cridelormeauleblog.com